Dans la pénombre de la chambre
Ses mains caressent doucement les ombres
Les fleuves terreux et piquants
Méandres de la Reine Sombre
Ses grands yeux naïfs contemplent
L'effrayant spectacle de ses
Terres, semblables à un sombre temple,
Plongées dans pure obscurité
Elle l'invite, elle l'attire
Il l'aggrippe, il déchire
Et enfin scelle un hymen
Brisant alors tout espoir de retour
Du Pays de l'Etoile du Soir
Ses mains caressent doucement les ombres
Les fleuves terreux et piquants
Méandres de la Reine Sombre
Ses grands yeux naïfs contemplent
L'effrayant spectacle de ses
Terres, semblables à un sombre temple,
Plongées dans pure obscurité
Elle l'invite, elle l'attire
Il l'aggrippe, il déchire
Et enfin scelle un hymen
Brisant alors tout espoir de retour
Du Pays de l'Etoile du Soir
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